Les Amours d'Amadeus 

 

 

 

 

 

Spectacle musical et théâtral tout public à partir de 10 ans

 

Ecrit et mise en scène par Brigitte BLADOU

Voix du conteur : Georges DESCRIERES Sociétaire de la Comédie Française

Musiques interprétées au piano

Direction chant : Monique de PLACE

Costumes : Comédie Française

Décors: Atelier Pré Saint-Gervais, Comédie de Paris

 

  Création Théâtre le Ranelagh ( 100 représentations ) Reprise au Sudden Théatre ( les Béliers Parisiens )

 

 

 Les Personnages

 

  • Wolfgang Amadéus Mozart     
  • Léopold Mozart                        
  • Constance Mozart                  
  • Voix de Georges DESCRIERES
  • Musiques interprétées au piano    

 

Crée au Théâtre du Ranelagh à Paris, les Amours d'Amadeus fait suite à « Wolfie… le petit Mozart » spectacle musical du même auteur, unanimement salué par la critique et qui fût joué devant plus de 30.000 spectateurs, en France, en Europe et au Festival International de Théâtre de Dublin.

 

 

 Synopsis

 

 

« Les Amours d’Amadéus » retracent avec joie et tendresse la vie de Wolfgang et de sa femme Constance. Leurs amours, leurs bonheurs, leurs jeux, leurs voyages, sont illustrés des airs des grands opéras : Figaro, Don Juan, Cosi Fan Tutte… les musiques sont interprétées au piano. Mozart et Constance se révèlent entiers dévorant la vie jusqu’à la mort précoce de W. Amadéus à l’aube de ses 36 ans.

 

En 1791, Constance est seule avec ses deux jeunes fils. Elle s’attache à défendre au mieux le formidable héritage spirituel et musical que lui a laissé Wolfgang Amadeus. Elle protège sa mémoire et son œuvre avec détermination, se révélant une redoutable femme d’affaires et une mère responsable luttant avec courage et amour. Constance demande de l’aide à l’Empereur Léopold II. Elle revient à Vienne dans sa maison et se souvient de sa rencontre et de son amour pour Wolgang, amour qu’ils partagèrent pendant huit ans…

 

C’est alors que surgit Amadéus.

 

 

 

Les Musiques (extraits)

 

 

  • Fantaisie en ré mineur interprétée au piano
  • La Flûte enchantée (opéra)
  • Sonate en fa majeur interprétée au piano
  • Sonate en la mineur interprétée au piano
  • Rondo kv 485 interprété au piano
  • Fugue en fa mineur pour piano interprétée au piano
  • L’enlèvement au sérail (opéra)
  • La flûte enchantée (air de papageno papagena)
  • Messe en ut mineur
  • Quatuor en ré dédié à J. Haydn
  • Noces de Figaro (Air de Chérubin )
  • Noces de Figaro (duo Chérubin, La Cirem de la mano) air chanté
  • Noces de Figaro (partons, partons) air chanté
  • Concerto n°21 en do Maj pour piano et orchestre
  • Symphonie concertante pour violon alto et orchestre
  • Cosi fan tutte (opéra)
  • Fantaisie en do mineur interprétée au piano
  • La clémence de Titus (opéra)
  • La flûte enchantée (air)
  • La flûte enchantée (glockenspiel)
  • Messe en do mineur

 

 

 

Lieux des représentations

 

 

FRANCE

  • Théâtre de Charenton-Le-Pont (Val-de-Marne)
  • Moulin d’Andé (Eure)
  • Théâtre d’Agen (Lot-et-Garonne)
  • Théâtre d’Arras (Pas-de-Calais)
  • Saint-Médard-en-Jalles (Gironde)
  • Théâtre des 3 Chênes au Quesnoy (Nord)

 

IRLANDE

  • Festival International de théâtre de Dublin (Fringe Festival): invité par l’Alliance Française et le Service Culturel de l’Ambassade. Sélectionné par la critique « Prix du Festival »

 

ANDORRE

  • Théâtre d’Andorre

 

 

Presse (extraits)

 

Sonate à Constance ou la constance de l'épouse d'un génie
Les Amours d'Amadeus  au Théâtre du Ranelagh


Théâtre on line: Par Diane Valemblois

Le spectateur convié à s'installer dans un ancien salon de musique, se retrouve à sa grande stupeur, assis devant une cheminée et un piano qui occupent une bonne part de "la scène". Cette intimité nous projette d'entrée quelques deux cents ans en arrière, à la fin du dix-huitième siècle, dans l'humble demeure de l'illustre Amadeus et de sa compagne Constance.

 

La pièce s'ouvre sur le monologue de Constance : laissée sans ressources par la mort subite et prématurée de Mozart, elle écrit une lettre à l'Empereur Léopold II pour solliciter son aide. Celui-ci donne l'autorisation à la veuve, elle-même musicienne, de donner des concerts et il lui octroie une petite rente. Le retour de Constance à Vienne dans la maison qu'elle partageait avec son mari fait revivre le souvenir de Mozart qui s'incarne alors sur scène.

 

On suit, dans la chronologie, les amours de Mozart, musicien nerveux, gai et passionné et de Constance, tendre et raisonnable, aussi joueuse que sérieuse.

 

Brigitte Bladou, excellente comédienne mais aussi musicienne de talent, interprète elle-même les musiques au piano. Proximité qui plonge encore un fois, le spectateur dans l'intimité du jeune couple. Les conflits avec le père, très hostile au mariage avec Constance, alternent avec les jeux d'amoureux des deux tourtereaux qui s'inventent un langage, des comptines, rebaptisent les personnes qu'ils connaissent. Les fous rires de ce couple complice, sont soudain brisés par les drames qui les frappent (notamment le décès de leur premier enfant, la mort du père ou la maladie de Constance). Comme dans la vie, le rire suit les larmes et les larmes suivent le rire. Fabrice Fara campe un Mozart attachant mais frivole, un peu dans la lignée de l'Amadeus de Milos Forman, mais en plus nuancé. En un brin de cour à une spectatrice de la salle, il la transforme en une baronne courtisée.

 

Le spectateur est interpellé tout au long du spectacle. Mozart et Constance prennent corps : ils ne sont plus d'anonymes silhouettes d'acteurs donnant leur texte sur un plateau. Ils s'incarnent devant nous : on peut saisir là une oeillade effrontée, ailleurs, un regard moqueur, une lueur désespérée.

 

Cette illusion d'assister à de vrais "morceaux de vie" ne provient pas seulement de la mise en scène chaleureuse de Brigitte Bladou mais également du magistral travail de documentation qu'elle a accompli en lisant tous les ouvrages sérieux écrits sur Mozart et en étudiant la correspondance qu'il a échangée avec tous ses proches (au total plus de six cents lettres).

 

 Paris Montmartre

 

En 1791, veuve avec deux jeunes fils, Constance Mozart revient à Vienne, et se souvient de sa rencontre et de ses huit années d’amour partagé avec Amadéus… Elle écrit à l’Empereur Léopold II, décidée à défendre au mieux le formidable héritage spirituel et musical que lui a laissé son époux… Et voilà que surgit Amadéus, et que tout semble recommencer.

 

La courageuse Constance, déterminée, brillante, à la passion infinissante, est interprétée par Brigitte Bladou ; cette concertiste-auteur théâtral peut passer d’une seconde à l’autre, avec une aisance remarquable, d’un dialogue incisif à une pièce musicale qu’elle interprète au piano.

 

Le jeune comédien, Fabrice Fara est Mozart, et sa fougue vitale emporte la raison et le quotidien dans un vent de folie poétique. Les espoirs, désespoirs, le quotidien, la création artistique, se télescopent et « flashent » le spectateur : l’ensemble étant lié, relié, par la voix, extraordinaire, hypnotique, et pudiquement mélancolique de Georges Descrières…

 

Ce très beau spectacle est un peu le pendant – version classique - de « l’Ombre d’un géant » : pas besoin des médias pour convaincre le public qu’il faut aimer une œuvre, lorsqu’il a perçu la sincérité du créateur, et son amour de la scène. Jean-Manuel Gabert

 

 

 

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